En 1913, le peintre futuriste Carlo Carrà écrit : « Sons et bruits ont des formes et intensité différentes de vibration à transcrire ainsi que chaque succession de sons, de bruits a des couleurs ». Reproduire les trépidations de la vie moderne en peinture (Giacomo Balla) comme en musique (Luigi Russolo et ses bruiteurs) sera le credo des futuristes. Quelques décennies plus tard, les nouveaux réalistes convoquent le réel de la vie moderne (Yves Klein et sa symphonie Monoton, Arman, Pierre Henry, Edgar Varèse).
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